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NOM(S): Callahan, le nom de famille de mon père, j'préfère avoir ce nom, parce que celui de ma mère craint. PRÉNOM(S): Eden, idée de ma mère, c'pour ça que j'utilise le plus souvent Jaelyn, le prénom que m'a donné mon père. Non pas que mon père ait plus de mérite pour l'éducation d'Asher et moi. DATE DE NAISSANCE: 18 mars 1992. ÂGE: vingt-quatre ans. NATIONALITÉ: Anglaise, la classe bébé. ÉTAT CIVIL: célibataire. GROUPE: heart eaters.

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PSEUDO/PRÉNOM: REMEMBERhope/Mathilde. ÂGE: seize ans. FILLE/GARS: fille. PAYS: France. COMMENT AS-TU CONNU HEARTQUAKE ? MARSHA ♥. COMMENT LE TROUVES-TU ? moche, c'pour ça j'suis là. AVATAR: Ashley Greene. SCÉNARII OU INVENTÉ ? Scénario (: FRÉQUENCE DE CONNEXION: 7/7. MOT DE LA FIN: J'ai faim ! Bah mange-moi le cul. Chamallow ? Ouais.

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« Aïe ! » Asher me regarde avec un air désespéré sur le visage. Quoi ? J'ai rien fait, c'est mes jambes qui ont décidé d'arrêter de me soutenir, pas moi. Maintenant je vais avoir mal aux fesses pendant deux jours, il m'aide à me relever, en passant son bras derrière mon dos. Quinze ans, il en a dix-sept et je vais quand même aux fêtes où il va. C'pas comme-ci c'était rare à Bristol. « T'es pas douée. » Je tourne la tête vers lui, alors qu'il m'aide à marcher. « Je t'emmerde. » que je lui dis avec un grand sourire con sur le visage. Déjà que pas bourrée, j'suis assez folle, mais alors bourrée, c'vraiment pire que tout j'crois. M'enfin, j'me supporte plutôt bien et c'le principal. « Marche droit et ferme-la. » J'lui marche sur le pied alors qu'il vient juste de me donner un ordre. J'aime pas quand on me donne des ordres, parce que j'en ai jamais vraiment reçu, sachant que je n'ai jamais vraiment eu de parents. Enfin j'en ai, mais ils ne sont jamais là pour Asher ou moi. Il ne riposte pas, parce qu'il sait que j'ai moins de force que lui, mais que j'suis plus maligne. Il sait que j'trouverai toujours une meilleure vengeance que lui et elle sera beaucoup plus terrible que toutes celles qu'il pourrait trouver. Disons que mon frère et moi, on s'entend pas forcément très bien. On s'engueule souvent, peut-être trop souvent, on n'est quasiment jamais d'accord, j'le trouve con et chiant. Il me trouve chiante et folle. Les seuls sujets sur lesquels nous sommes d'accord : nos parents et le fait que même si on ne le dit jamais, on s'aime. « J'crois que j'vais arrêter de t'embarquer à mes soirées. » J'lui marche encore une fois sur le pied, il dit aïe et me tape dans l'épaule, pas fort. « M'en tape, j'irai sans toi. » Il explose de rire... qu'est-ce qu'y était censé être drôle dans ce que je viens de dire ? « Excuse-moi, j'te trouve drôle. » « Pauvre con. » Il enlève son bras d'un coup et d'un peu plus, je retombe parterre. Espèce de petit con. On arrive à la maison et il n'y a personne, peut-être que la nourrice dort, j'sais pas... j'm'en fous en fait. Tant que personne ne vient me réveiller ou me faire la morale demain matin, tout va bien.

C'le matin, c'le moment de se lever surtout. J'dois aller en cours aujourd'hui, parce qu'on a un nouveau directeur, beaucoup moins cool que le précédent. J'crois même qu'il est plus taré que moi. J'descends les escaliers, j'ai mal à la tête parce qu'hier soir j'suis encore allée à une fête. Il y a une fête quasiment tous les soirs ici. J'rentre dans la cuisine, lentement, j'peux pas aller plus vite, trop la tête dans la cul. « Wooah, qu'est-ce qui se passe ? Vous avez décidé de prendre votre rôle de parents à cœur ? Ah non, pardon, c'est vrai : vous êtes trop jeunes et cons pour ça. Maintenant, si vous voulez bien, je vais prendre mon petit-déjeuner dans le salon, parce que voir vos tronches plus longtemps, ça va me couper l'appétit. » Je prends les céréales, la bouteille de coca et je sors de la cuisine, ma mère me regarde très méchamment et mon père... j'crois qu'il s'en fout. C'bien on est deux. Mon frère descend et je le croise en allant dans le salon. « Fais gaffe, j'ai énervé maman, c'toi qui risque de prendre. » Il me regarde avec un air qui dit : c'le matin, j'comprends pas ce que tu me dis, casse-toi, va manger et me fais pas chier. J'hausse les épaules. Je n'ai jamais la même réaction, face à la même situation. Ça aurait été hier, il se serait mangé trois insultes dans la tronche, ou avant-hier, j'l'aurais frappé... enfin ça dépend des jours. C'pour ça que les gens sont surpris de mes réactions parfois. Personne n'a jamais réussi à vraiment me connaître par cœur, parce que ce n'est pas possible j'crois. J'veux dire... on m'a souvent dit : t'es vraiment tarée ma parole. Mais je l'ai jamais mal pris, puisque c'est la vérité. Enfin bref. J'me pose sur le canapé et j'risque d'arriver en retard... encore. Au pire l'autre con me vire... mais non il ne le fera pas, j'suis trop adorable pour ça. En fait il m'aime pas vraiment, parce que je fais pas mal de conneries, sans vraiment le vouloir. C'pas de ma faute donc, mais ça fait qu'il ne m'aime pas et que s'il avait vraiment une raison pour me renvoyer, il le ferait sans grande hésitation.

« AHHHHHHHHHHHH, IL EST OU CE CON ??????!!!!! » J'rentre dans ma chambre en colère. Où est ce connard de téléphone de merde ? Merde à la fin, fait chier. « ASHER ! SI C'EST TOI QUI ME L'A PRIS, JE TE JURE QUE JE TE CASTRE ! » Avery lève la tête vers moi d'un coup, largement plus intéressée par ce que je dis. Elle est tout le temps allongée sur mon lit, comme une loque, mais ça lui va bien. Elle sort avec mon frère et il ne la mérite pas, mais elle ne m'écoute pas. Je suis la voix de la sagesse et pourtant personne ne m'écoute. « Tu cherches quoi ? » qu'elle me demande avec une tête qui dit... je m'en tape, mais j'peux peut-être t'aider. J'adore ma meilleure amie, elle est d'un soutien parfois... bref. « MON TÉLÉPHONE ! » Avery me regarde avec une tête de vingt mètres de long. Je lui fais un doigt d'honneur et deux secondes après, j'attrape mon sac. Je l'ouvre et je le vide sur mon lit. Y a pleins de trucs qui tombent, mon porte-feuille, mon paquet de clopes, mes clés et... ah. Merde. Je fais un grand sourire à Avery. « T'es vraiment pas douée parfois. » « Je t'emmerde ma belle. » La porte de ma chambre s'ouvre d'un coup, je sursaute. « Qu'est-ce que j'ai fait encore, pour que tu veuilles me castrer ? » Je le regarde avec un grand sourire. « Rien, j'l'ai retrouvé. » Il lève les yeux au ciel puis pose son regard sur Avery qui nous regarde. « ah non, casse-toi de ma chambre tout de suite ! » Il tourne la tête vers moi et j'crois qu'il a envie de me taper, mais il le fait pas, parce qu'il sait qu'on ne tape pas les filles. « Brave petit, barre-toi maintenant. » que j'dis en le virant de ma chambre et en fermant la porte juste après. J'me retourne vers Avery et j'me pose sur mon lit à côté d'elle. J'lui souris alors qu'elle me regarde bizarrement. « Bon chérie, tu vas squatter toute la journée, ce soir Asher fait une fête, j'sais pas s'il te l'a dit, mais en tout cas, on va être canon comme d'habitude et tous les mecs voudront nous baiser. » J'dis ça, même si j'sais qu'elle est avec mon frère. Elle lève les yeux au ciel, c'quoi cette manie que les gens ont en ma présence ?! Fuck hein. Non, mais sérieux. « J'sais pas c'que j'vais me mettre par contre, donc tu vas m'aider à choisir. » que je lui dis en la remuant. « Pourquoi cette fête est si importante ? C'qu'une fête parmi tant d'autres. » J'lui tape l'épaule. Non c'pas une fête comme les autres. Il y aura Jax. « Tu comprendras ce soir. » « T'es as soit trop dit, soit pas assez. » J'la fixe, elle me fixe aussi depuis plus longtemps. Fuck. « Le nouveau. » Elle rigole, j'vois pas c'que j'ai dit de drôle. Après c'moi qu'on traite de folle. « Quoi ? » Elle continue, okay, je me lève et j'ouvre mon placard. J'vais me mettre une robe, mais laquelle ? Oh et puis merde de toute façon, j'suis canon dans n'importe quelle robe. Modestie ? Non, pas maintenant, peut-être plus tard dans la journée.

En fin de compte, j'ai mis un jean bleu clair et un t-shirt qui allait avec, pas une robe. Mais on s'en fout de ça. On enchaîne vodka sur vodka. Je suis sur le canapé avec Avery, je bois plus qu'elle la plupart du temps, mais je connais mes limites, même si je les dépasse souvent, je reste toujours dans un 'bon' état. Encore heureux d'ailleurs, parce que sinon, je peux être sûre que je me ferai tuer par Asher. Jax est là, mais il est venu avec sa pute et bordel ça me fait chier. Il me regarde alors que ça fait cinq minutes que je le fixe, je lâche pas son regard et lui non plus. A croire qu'on est entrain de faire un concours pour savoir lequel de nous deux détournera le regard en premier. C'est lui, sa pute lui a parlé. J'l'emmerde à cette salope. Je bois une autre vodka et je m'allume un joint. Ce mec est un connard, on ne peut pas dire le contraire. Il est sexy, à chaque cours j'sens son regard sur moi, parce que oui, nous sommes dans la même classe. Il se fout de ma gueule, parce que lui il fout rien, mais il a quand même des bonnes notes, ça s'trouve il se tape la prof... J'sais pas, mais en tout cas, j'sais qu'il est carrément bien foutu et que depuis que je l'ai vu dans cette foutue boite de nuit, j'ai envie de me le faire. Il doit sortir avec l'autre conne, tout simplement pour faire son intéressant, mais cette fille, il n'y a que le furet du bois joli qui ne lui est pas passé dessus, alors c'pas comme-ci c'était un exploit qu'il se la tape. M'enfin. La blonde se casse et va j'sais pas où dans ma maison. J'crois qu'elle est sortie dehors pour prendre l'air. « Je reviens. » que je dis à Avery, elle me fait un signe de tête positif. Asher va vers elle et prend ma place. pf. Jaxhuem bouge pas de là où il est et il me regarde, je tire une longue taffe de mon joint. Je me mords la lèvre inférieure alors que mon visage est à quelques centimètres du sien. Il m'embrasse et il me plaque contre le mur, quelqu'un prend le joint que j'avais entre mes doigts et j'prends la main de Jax. Je suis quasi-sûre que toutes les chambres sont déjà occupées, la mienne aussi, mais j'ai déjà prévu les draps de secours dans mon placard. Bref. Nous sommes maintenant dans la salle de bain du rez-de-chaussé que je viens de fermer à clé pour pas qu'on se fasse choper. Je compte bien atteindre mon but ce soir, c'est-à-dire : me le taper. « T'as une capote ? » que je lui demande sans hésiter, parce qu'en général, quand deux personnes sont dans les chiottes et qu'elles ne sont pas du même sexe, c'pas pour refaire la décoration. Il en sort une de sa poche et d'un coup je l'embrasse, mais cette fois c'moi qui le plaque contre le mur. J'enlève mon t-shirt et je lui défais sa chemise. Il m'embrasse dans le cou, alors que j'défais la braguette de son pantalon, qui se retrouve lui aussi au sol. Le mien se casse avec, tout comme nos sous-vêtements. Il met la capote et d'un coup c'moi qui suis contre le mur, il passe mains sous mes fesses en m'embrassant et j'décolle du sol. J'enroule mes jambes autour de sa taille et il m'embrasse dans le cou, en même temps qu'il commence ses mouvements de bassin. Je me mords la lèvre inférieure, une des mains se pose sur ma cuisse, j'ai un frisson qui me parcoure le corps tout entier, alors que j'gémis. Il m'embrasse, alors que sa main continue son ascension, elle arrive une de mes côtes et je frissonne une nouvelle fois. J'ferme les yeux, ma respiration s'accélère de plus en plus et j'ai l'impression que mon cœur va sortir de ma poitrine.

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Spoiler:

uc.