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NOM(S): Sanchez PRÉNOM(S): Aleksandra, Elena DATE DE NAISSANCE: 13 mai 1989 ÂGE: 21 ans NATIONALITÉ: Italienne ÉTAT CIVIL (célibataire, fiancé, marié, divorcé): Célibataire GROUPE : Got the blue.

Né d'une mère italienne et d'un père espagnol, dans la plus belle vit qui soit, c'est à dire Florence, Aleksandra avait tout pour elle. Belle comme un cœur dès sa naissance, tout semblait lui sourire. En effet, très jeune, elle commence à s'intéresser au monde extérieur, aux vêtements. Souvent, elle prenait les robes, et autres affaires de sa mère pour les enfiler et marcher dans la maison. Tout y passait, vêtements, bijoux, chaussures et autres accessoires. Aleksandra semblait avoir trouver la voie du bonheur, celle que tout le monde cherche ardemment. Véritable rayon de soleil pour sa famille, elle faisait également beaucoup rire sa mère, les vêtements trop grands ainsi que les chaussures. Et puis qui ne s'est jamais amusé à se barbouiller la figure avec du rouge à lèvre ??? On se le demande ! Face à l'engouement de sa fille, elle décida alors de l'entrainer dans le monde de la mode et des défilés, tout comme sa mère l'avait fait avec elle auparavant. Eh oui telle mère, telle fille, n'est ce pas?? Tout allait si merveilleusement bien. Très vite, Aleksandra fut repéré par un réalisateur, elle commença dès lors à faire des publicités pour des produits enfantins. Mais, elle faisait également la couverture de certains magasines, portant sur les photos de jolies robes, de belles jupes. Aleksandra s'épanouissait dans ce petit monde.

Mais, tout cela ne fut qu'éphémère, le revers de la médaille arrivait à grand pas ! Alors qu'elle continuait dans le monde de la mode, à travers les photos, les défilés, quelque chose de grave arrivait. Une chose qui allait changer sa vie du tout au tout. Ce jour-là est un jour gravé dans la mémoire de notre belle blonde. Elle fêtait ses 19 ans avec quelques amies, juste après un défilé à Milan. Tout se passait à merveille, le défilé avait remporté un succès et les filles riaient et s'amusaient dans la loge d'Aleksandra. Quand soudain le téléphone sonna. Surprise sur le coup, Aleksandra pensa que c'était ses parents. Elle n'avait pas totalement tort.

"Allo ? Mademoiselle Sanchez ?" demanda une voix inconnue.
"Oui, c'est bien moi .... Mais qui êtes vous ?" répondit-elle d'une voix hésitante
"Je suis l'agent Gonzalez et j'ai à vous parler. C'est au sujet de vos parents."
"Mes parents ? Que se passe-t-il ? Répondez !!!" dit-elle maintenant effrayé
Je suis désolé, mais ils ont eu un accident de voiture et ...." répondit l'agent de police, d'une voix totalement neutre
Quoi ? un accident ?? non c'est pas possible...." coupa-t-elle terrorisée
"Oui, un accident, sur un carrefour menant au centre ville de Madrid. Ils allaient sûrement à une réception, vu leurs habits. Un camion les a heurté de plein fouet, ils sont morts sur le coup. Je suis désolé, Mademoiselle Sanchez, mais il va falloir que vous veniez à Madrid." lui dit-il sur un ton calme
"Oui, je vais venir. Au revoir Monsieur l'agent"

Sur ces derniers mots, elle raccrocha. Les larmes avaient déjà commencées à couler. Elle se retourna vers ses amies qui comprirent qu'il valait mieux partir. Toutes partir, sauf Naomi qui lui demanda si elle voulait qu'elle reste. Naomi était sa plus grande amie, cela faisait 8 ans qu'elles se connaissaient et qu'elles travaillaient ensemble. C'était ensemble ou rien du tout. Aleksandra regarda son amie, mais elle lui fit signe que non, qu'elle voulait rester seule. Seule face à la tragédie. Ce n'est que le lendemain, qu'elle alla voir son manager pour lui annoncer la nouvelle. Tristan eut l'air navré d'apprendre la nouvelle. Tous deux étaient également proche, mais d'une autre manière. Elle annonça à Tristan qu'elle devait partir à Madrid, de même qu'elle devrait organiser les funérailles de ses parents. En sortant du bureau, elle découvrit Naomi, elle savait que cette dernière avait écouté derrière la porte et connaissant déjà sa réaction. En effet, Naomi déclara qu'elle partait avec son amie à Madrid et partit de ce pas voir son manager pour lui annoncer la nouvelle. L'après midi même, elle se trouvait dans un avion en direction de Madrid, où l'attendait de nouvelles épreuves. Elle arriva le soir même à Madrid, d'où elle prit un taxi direction la morgue là où se trouvait pour le moment ses parents. Entre temps, elle avait prévenu sa famille pour les funérailles de ses parents qui se tiendraient dans deux jours. Arrivée à la morgue, se fut un spectacle concernant qui s'offrit à elle. Malgré que les corps avaient été nettoyés du sang sur leur visage et corps, elle avait du mal à y reconnaitre ses parents. certains endroits avaient été brûlés. Elle dut se retenir de ne pas vomir. C'est alors qu'elle sentit un bras se glissait dans son dos afin de l'éloigner loin de ces corps déformés par l'accident. Ce bras c'était Naomi qui la conduisait vers la sortie, tandis que Tristan informait la personne que les corps devraient être prêt dans deux jours. Les funérailles se passèrent, Aleksandra pleura toutes les larmes de son corps et bien plus encore. Ce jour là, Tristan lui annonçait qu'elle et Naomi étaient attendues à Berlin pour un nouveau défilé. Dépitée par ce qui lui était arrivée, elle monta dans sa chambre. Depuis quelques années, ses parents étaient revenus à Madrid, ville natale de son père, ville de leur mariage. La maison était toujours la même, sa chambre n'avait pas bougé d'un pouce, comme si le temps s'était soudain arrêté. Tristan la rejoignit, il savait ce qui lui fallait. Elle devait partir à Berlin. Il l'a pris dans ses bras et l'embrassa, lui susurra quelques mots doux qui décrochèrent tant bien que mal un pâle sourire d'Aleksandra. Cela faisait maintenant deux ans qu'ils étaient ensemble, qu'ils vivaient heureux. Elle lui répondit qu'elle était ok pour partir à Berlin. C'est ainsi qu'elle continua sa vie de mannequin.

Les années passèrent, et deux ans s'écoulèrent. Mais, Aleksandra continuait de ressentir un vide en elle, le deuil de ses parents était dur à faire. Elle, si habituée à avoir ses parents pour elle, petite princesse qu'elle était. Aujourd'hui, elle avait 21 ans, mais elle avait l'impression d'en avoir encore 19 ans. Certes, elle avait Naomi et Tristan qui ne la quittaient pas d'une semelle, mais même cette présence ne suffisait. Avant elle, sa mère avait été mannequin. Son métier, c'était sa mère qui lui avait tout appris. Et son père toujours là pour l'encourager, toujours là pour l'emmener au delà de ses limites. Depuis deux ans, la vie ne l'avait pas gâtée. Récemment, elle avait fait la une de la presse, avec sa chute mémorable sur le podium. A quoi pensait-elle ce jour-là, sûrement à ces parents, c'était la date anniversaire de leur départ. Mais là n'était pas le plus grave. Et ce qui se préparait allait la détruire, lui faire du mal. Un jour, alors qu'elle cherchait Tristan dans leur suite d’hôtel à Rio de Janeiro, où venait de se produire le dernier défilé de la saison, elle tomba sur l’inimaginable. Ne le trouvant pas dans leur suite, elle partit voir chez Naomi, lui demandait si elle ne l’avait pas vu. Habituée à entrer dans la suite de Naomi, elle ouvrit la porte, elle l’appela, mais cette dernière ne répondit pas. La connaissant, cette dernière devait être entrain de dormir, comme à son habitude après chaque défilé. C’est là qu’elle se trompait. Certes, elle était dans son lit mais pas de la manière dont elle avait pensé. Au contraire, elle était accompagnée par un homme, ne voyant pas immédiatement son visage, Aleksandra s’excusa et commença à partir quand elle vit son visage. TRISTAN. Comment avait-il pu ? Comment avait-elle pu ? Comment ? Pourquoi ? Depuis quand ? Tant de questions se bousculaient soudainement dans sa tête !! Elle se sentit d’un coup pas très bien, si bien qu’elle s’écroula sur le sol inconsciente. Quelques minutes plus tard, quand elle revint à elle, elle se réveilla sur le canapé de sa suite. Quelqu’un avait du l’y emmener. Elle se leva et découvrit Tristan regardant par la fenêtre et Naomi feuilletant un magasine.

« Tritan ? » appela-t-elle d’une voix faiblarde.

Il se retourna, mais elle eu l’impression d’y voir un autre. Elle se sentait trahie au plus profond d’elle. Il ne répondit pas à son appel. C’est alors que Naomi prit la parole.

« Tu devrais te reposer Aleksandra, tu es tombée »
« Non, ça va je vais très bien." répondit-elle sur un ton neutre.

Elle n’avait qu’une envie lui sautait dessus. Trahie par son amour, elle avait été tuée par son amitié. Comment pouvait-elle lui faire une telle chose. Elle la regarda intensément, attendant qu’elle se dévoue à parler, mais à sa surprise c’est Tristan qui prit la parole.

« Tout ça, ce que tu as vu Aleks, c’est de ta faute » lui dit-il, serein
« Ma faute ? MA faute ?? Comment oses tu me mettre la faute sur moi, alors que je ne suis pas partie aller voir ailleurs » lui lança-t-elle, essayant de se contenir.
« Tu n’es plus la même. Depuis deux ans !! Tu deviens une autre, même moi ta meilleure amie, je ne te reconnais plus » dit alors Naomi, s’approchant d’Aleksandra
« Plus la même ? Et c’est pour ça que tu lui sautes dessus ? Et moi qu’est ce que je suis ? » demanda-t-elle les regardant tour à tour, tous les deux.
« Je t’aimais Aleksandra, j’aimais l’autre fille ! » lui répondit Tristan
« L’autre fille, mais je n’ai pas changé » continua-t-elle d’une voix défaillante, « je suis toujours la même. La même Aleksandra !!! »
« Non, tu ne l’es plus, tu as changé, la perte de tes parents a fait de toi une autre fille. Avant, tu étais pleine de vie, riante, drôle, aimante, charmante, généreuse, gentille. Aujourd’hui, j’ai l’impression d’embrasser un fantôme » lui expliqua Tristan, tandis que Naomi essayait d’approcher son amie pour lui prendre la main.
« Un fantôme ? »demanda-t-elle, alors qu’un sanglot éclata dans sa gorge « Depuis combien de temps tu joues à la comédie ? » Ces mots étaient durs à prononcer pour elle, un monde venait de s’écrouler.
« Cela va faire bientôt un an et demi, que nous nous voyons en cachette de toi » répondit Naomi

Un an et demi qu’il la trompait, un an et demi qu’ils jouaient tous les deux la comédie. Un an et demi qu’elle vivait dans le mensonge.

« Tu comprendras surement que je ne serais plus ton manager, Aleksandra » dit soudain Tristan

C’était le coup de poignard de trop. D’une part, elle venait d’apprendre la supercherie, mais en plus, elle se trouvait désormais seule. Elle se leva et les défia. Elle pria d’abord Naomi de partir d’ici, puis demanda à Tristan de prendre ses affaires. A le voir, il était plutôt heureux de partir et de changer de suite. Aleksandra passa plusieurs jours à pleurer, seule et enfermée dans sa suite. La nouvelle que Tristan n’était plus son manager se répandu comme une trainée de poudre. Ce n’est qu’au bout de deux semaines, qu’elle prit la terrible décision d’arrêter le mannequinat et de partir loin de ce monde. Tout compte fait, la petite Aleksandra n’avait pas trouvé le bonheur. Depuis la perte de ses parents, le mauvais sort s’acharnait sur elle et aujourd’hui, elle était détruite à tout jamais. Pourrait-elle reprendre une vie normale ? Pourrait-elle recommençait une nouvelle vie ? Grande question. Elle n’en connaissait pas la réponse, mais elle ne savait pas non plus où allait. Elle partit d’abord pour les Bahamas, mais rien ne se passa comme il le fallait. A peine arrivée qu’elle fut reconnue et traquée par les paparazzis. Tout le monde voulait connaitre son histoire. Elle alla de destination en destination. Plus d’une fois, elle pensa à changer de visage mais à quoi bon. Le seul changement qu’elle opéra fut de changer sa couleur de cheveux. Mais même là, elle fut reconnue une fois de plus par la presse. Elle reprit donc sa couleur naturelle de blonde, et continua d’aller de destination en destination. C’est alors qu’elle débarqua à Kingston.

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PSEUDO/PRÉNOM:Never-Die / Alex' ÂGE: 21 ansFILLE/GARS: fille. PAYS:France COMMENT AS-TU CONNU HEARTQUAKE ? en me baladant de forums en forums (très original) COMMENT LE TROUVES-TU ? J'adore le contexte, le design et tout AVATAR: Elisha Cuthbert SCÉNARII OU INVENTÉ ? inventé. FRÉQUENCE DE CONNEXION: 3/7 voir plus si j'ai le temps, mais je travaille sur le côté. MOT DE LA FIN: Love you ! Love me ? (et) j'espère que ce n'est pas trop long