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NOM(S): visconti. PRÉNOM(S): andreas, deuxième nom au choix. ÂGE: 24 ans. NATIONALITÉ: américaine, originaire de sicile. ÉTAT CIVIL : au choix. PROPOSITIONS D'AVATARS: j'avoue voir prioritairement chace crawford dans ce rôle, mais s'il vous bloque, les mp sont là pour ça. STATUT : free. EXIGENCES: une présence régulière, de la motivation à participer à des rp, non pas seulement flooder, et puis un peu de folie, car le personnage sort du cadre normal des rôles de crawford.

Le mec n'a pas eu la vie facile, loin de là. Ses parents étaient mafieux, les parents de ses parents avant lui. Quand la Sicile n'a plus offert l'éventail de possibilité d'antan, ils ont émigrés vers Detroit, d'abord, où l'empire Visconti s'est fait connaître. Il a deux frères et une soeur. Seule celle-ci est toujours en vie. Les autres se sont fait exécutés, une balle dans la tempe, en même temps. Mama n'a pas supporté le choc. Le père s'est renfrogné, et devenant du coup l'aîné et seul garçon héritier, le parrain Giorgio Visconti a investi beaucoup de temps pour forger la relève parfaite. Il y est arrivé. Afin d'étendre son influence, il est venu en Angleterre il y a trois ans. Il y a eu mutinerie à New-York, récemment. Peu après, drôle de coïncidence, qu'il retrouve Artemis Marloes et Sidney. Il leur avait offert la gloire, en investissant dans leur projet Midnight Whirlwind. Maintenant, il cherche remboursement. Savoir ce qu'il veut? Qui sait, puisque Andreas a absolument tout ce qu'il veut. Quoique, si sa vie craint, pourquoi des louvetaux se la couleraient aussi douce?

you must know that... s'il s'en donne à coeur joie de miner le moral de sidney, il commence à prendre goût à la blonde explosive, attention, ça risque de faire des dégâts c'est avec sid&arty qu'il a conclu l'affaire, au départ. ni anderson, tabitha ou avery ne sont au courant. il se fait présenter comme un mégalo, un philantrope, un bienfaiteur, un fan avec d'la thunes, quoi andreas prend goût au pouvoir et en veut toujours plus, c'est loin d'être un tendre & il ne se soucie guère de ce qu'il cause comme dégâts lors de son ascension il cherche toujours inconsciemment à plaire à son père il se méfie d'avery, car c'est de loin la plus perspicace. faut pas qu'elle foute tout en l'air, il tient sidney a la gorge, se tape artemis, tout va bien dans le meilleur des mondes & c'est pas une merdeuse qui va tout gâcher s'est arrangé pour donner, loin de l'angleterre, une petite leçon de style à sidney. de son côté, il s'en sort avec un léger cocard et des jointures abîmées, c'est légèrement plus profond pour sa victime (se référer au scénario d'Artemis) anderson a innocemment dévoilé une information de façon inconsciente en confiant, sur un ton léger, que ça faisait sept ans que sid attendait d'avoir sa chance avec tabitha, il n'en fallait pas plus pour que le cerveau machiavélique d'andreas allume sur l'ultime ombre au tableau, le trophée incontesté du connard par excellence : et s'il clouait le cercueil de lancaster en lui chopant sa petite-amie tant désirée?

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« Fous-lui la paix, c'est clair? ». J'ai horreur de son air supérieur, je l'ai en horreur, ce mec. J'aurais jamais du lui accorder ma confiance, j'veux dire, confier notre succès dans les mains d'un pareil emmerdeur. J'aurais du savoir qu'on ne donne jamais sans arrière-pensée, quand on porte un nom comme le sien « T'a rien compris Lancaster, c'grâce à moi qu'on vous connait. C'grâce à moi que t'es quelqu'un ». Mon poing se serre à un tel point que je vois mes jointures blanchirent à vue d'oeil, presque autant que je pâli, furieux. Je fais un pas vers lui, près à sortir la droite pour ce qu'il ose faire. Je ne sais pas ce qu'Arty a en tête, mais je sais que si ça concerne ce gros con d'Andreas, ça augure rien de bon. Elle une fille, lui un mec, un chieur en plus « Ça te donne aucun droit de voir Artemis. J'te conseille de lui foutre la paix, Visconti, ou j'envoie ta gueule de mafieux au tapis. Clair? ». Il éclate de rire. J'ai l'impression d'être un gamin quand j'suis face à ce mec-là, parce que j'ai conscience de la portée de chacun de ses mots, de ses sous-entendus. J'crois qu'il me lynche s'il le veut rien que d'un signe de main, mais il s'amuse. À mes dépends. La putain de honte « Si t'es pas encore à la rue à vendre des démos à 2 pièces, c'est parce qu'Artemis a quelque chose qui me plaît ». Je serre les dents, et j'ose pas demander ce que c'est. Peut-être parce que j'ai peur de sa réponse « Son cul, Sidney, son cul. Bah ouais, t'en sais quelque chose, il me semble, non? ». J'ouvre grand les yeux. Il peut pas m'avoir lancer ça, à moi, comme ça. Bang, dans la gueule. C'est une gifle magistrale qu'il m'envoie là. Mais comme ça me travaillait et que je suis impulsif et con, ma droite heurte son arcade sourcillière « Je jure devant Dieu que je vais te tuer. J'vais te tuer, Visconti. Tu iras branler Lucifer, enfoiré! ». Je frappe encore et encore, jusqu'à ce qu'on m'attrape. Une prise militaire, et qu'on me balance contre un mur. J'ai même pas mal, l'adrénaline court dans mes veines. Il s'essuie la gueule, voit le sang qui y perle, et vient m'donner un putain de coup dans le creux des reins, à une, deux, trois occasions, puis se penche près de moi. J'me tords de douleur « J'suis encore mieux comme ça. C'les mauvais garçons qui l'allume, Arty, tu savais? ». Il m'attrape par les cheveux, me force à le regarder « J'vais la baiser comme t'a pas idée. Dommage que tu supportes pas de regarder, t'apprendrait des trucs, gamin ». Je me débat, anesthésié de toute douleur, même si j'suis une plaie béante sur le sol. Il me relâche, puis tourne les talons. Les mecs le suivent. J'peux même pas me lever. Putain de merde. Faut que... puis le trou noir.