© geronimo thrill

NOM(S): Barktwames PRÉNOM(S): Elias, Diggory. DATE DE NAISSANCE: Quatre juin. ÂGE: Vingt et un ans. NATIONALITÉ: Français/Italien. ÉTAT CIVIL (célibataire, fiancé, marié, divorcé): Célibataire.

« Je ne suis pas beau, je suis sexy.
Je ne suis pas une garçon, je suis un beau goss.
Pardon de parler que de moi, je suis ainsi. »

Je suis extraverti, amusant, aimable, ambitieux, blagueur, créatif, charismatique, déterminé, déluré, direct, diplomate, fêtard, franc, fidèle, indépendant, honnête, séduisant, séducteur, provoquant, persévérant, responsable.

Non, peut-être que vous juger trop sur mon physique. Je suis peut-être grand et musclé, mes cheveux sont peut-être couleur caramel débraillé, mes yeux brillent peut-être dans le soleil quand je vous fixe mais en aucun cas, toutes ses qualités me correspondent. Qui dit qualités, dit défauts et dans mon cas, vous ne trouverez pas mieux.

Je suis aguicheur, parfois arrogant et arnaqueur, borné, calculateur si je le veux, charmeur, dépendant, égoïste, hypocrite à certains moments, exubérant, flemmard, imprévisible, jaloux, manipulateur, modeste, moqueur, obstiné, susceptible, têtu.

Mon corps de dieu, mes qualités et mes défauts réunis ont crée ma petite personne. Elias Barktwames, un grand et jeune homme à la fois diplomate et forcené sur l'alcool et la drague. Qui n'a jamais dit que les garçons pouvaient être... troublants et extrêmement prétentieux ? Écoute, j'ai une belle gueule, même ma mère me le disait quand j'étais petit mais qui aurait cru que le garçon de Winnifried Barkwames serait devenu un grand et magnifique jeune garçon de vingt et un ans, personne, à part moi-même à dix ans. Je me rappelle avoir dit un jour à maman d'une voix enfantine et angélique : « Un jour, m'man, je serais un grand et beau garçon, toutes les filles seront à mes pieds et j'en ferais ce que je veux, mais... mais je ne serais pas comme p'pa, parce que lui, il t'a traité comme... enfin, tu sais. M'man, tu crois que ma gentillesse me perdra ? » J'avoue, à l'époque, j'étais le petit garçon model qui suivait les traces de sa mère, mais à partir de mes seize ans, j'ai dérapé et je suis devenu plus hautain envers mon entourage. J'me suis peut-être embelli mais mon caractère s'est renforcé, du mauvais sens peut-être, comme dans le bon.

© misery angel

PSEUDO/PRÉNOM: Lulute. ÂGE: Seize ans. FILLE/GARS: I'M A GIRL. PAYS: Francia, bonhomme. COMMENT AS-TU CONNU HEARTQUAKE ? PRD, PRD ♥. COMMENT LE TROUVES-TU ? whoo *_*. AVATAR: mathys, mathias lauridsen ♥. SCÉNARII OU INVENTÉ ? inventé. FRÉQUENCE DE CONNEXION: 5/7. MOT DE LA FIN: heartquake forever ? sérieux j'aime quoi ♥

Vous savez pourquoi, le jeune Barktwames est encore célibataire au jour d'aujourd'hui ? Parce que sa relation à complétement dérailler. La pauvre jeune fille le croyait trop influençable et elle se crut vulnérable. Du moins, c'était la dernière. Que diriez vous de commencer par le début, faute de mieux que de commencer par il était une fois alors que ce n'est pas un conte de fées à l'eau de rose.

Il était une fois Un jeune garçon qui marchait le long d'une ruelle. Il n'était ni shooté, ni bourré, ni autre chose d'ailleurs, le jeune homme marchait comme une personne marcherait en cette soirée légèrement froide. Il était surement dix sept heures enfaite, mais cette journée se passait en hiver, je crois. Enfaite, personne ne connait la suite de l'histoire. Le jeune homme a été renversé une voiture après avoir marcher une heure tout seule jusqu'à la première ruelle près de chez ses propres parents. Il venait de se faire larguer par sa copine enceinte et il ne voulait qu'une chose : la récupérer. Pas de si tôt, mon gars.
Cet homme était mon père. Maman m'avait raconté que personne ne savait ce qui l'avait poussé à se jeter sous la voiture. Genre s'était possible qu'il s'y jette ? Le nombre de fois où elle m'a raconté que mon père était mort à la guerre ou autre connerie du genre pour ne pas me faire de la peine. J'ai appris la vérité à quatorze ans, quand Ebony m'a demandé pourquoi j'avais pas de père. Je ne sais pas si vous imaginer la suite, ou le début.
J'ai grandit, j'ai vécut comme un tendre enfant attenant son adolescence déchirante et basta ? Non, bien sur que non, attendez, ça va plus loin que ça quand on a un père ivrogne qui baise n'importe qui et qui abandonne sa copine après une léger dispute qui coute rien.

« Patati et patata. Ah, j'te jure Alex, c'te meuf était trop mais son côté pipelette, qu'es-ce que ça rebute dit donc. Tiens, Barktwames, qu'es-ce tu fous ici, t'aides pas ta mère à la boutique ? » Ce jour là, j'échappais un rire de son visage d'ange et me tournais vers mon interlocuteur, le rire au lèvre et un sourire narquois sur le visage de con qu'il portait. Je soupirais et m'approchais d'un pas lent en sa direction. Son pote lui donna une tape sur l'épaule mais il ne semblait réagir. Quand j'arrivais à sa hauteur, je lui souris de la façon dont il le faisait et lui foutais mon poing dans son visage pourri. « Tu sais de qui tu parles, Flint ? Ma meilleure amie. Si j'tentends encore dire des niaiseries de ce genre, je t'éclaterais pas que le nez ? Et pour ton affirmation, ma mère a pas besoin d'aide, encore moins de la mienne que de la tienne. » Ma première connerie en effet. Flint a prévenu le proviseur qui m'a convoqué avec ma mère, je lui ai juré de ne pas recommencer mais ce n'était que le commencement de ce côté impulsif que je développais.

« Allez viens Barktwames, s'il te plait, j'ai envie de toi, maintenant. » Elle me tirait par le t-shirt comme on tirerait un chien en laisse. Me collant contre le mur du placard à balai, je sentais ses baisers s'intensifier. Il fallait que je fasse cessé cela tout de suite. Je l'attrapais par les bras et échangeais les rôles, la collant contre le mur et la fixant des yeux. « Stop barbie. Je suis pas une poupée, okay ? Et encore mon le toutou qui te suivra après avoir coucher avec moi, double okay ? Sur ce barbie, je te laisse dans ta penaude, tu seras bien triste d'apprendre que les paris ça ne tiens pas avec Elias. » Bam, au moins c'était dit mais une sale réputation allait suivre, peut-être ou peut-être pas. On m'appelait régulièrement chaud lapin, je n'en suis guère un. Je suis surement le plus snob et sérieux des garçons en guise de sexe, mais j'aime faire languir les filles qui veulent absolument obtenir mon corps.

« Dit Elias, t'aime les filles de mon genre ? » - « Whoo... qu'es-ce que tu racontes, Ebo ? J'me taperais pas ma meilleure amie, juste pour dire que je suis plus vierge. » - « Et si ça t'étais indispensable ? » - « Merde Ebo, tu me prends pour une racaille qui laisse la marchandise de côté après ? » Ebony est ma meilleure amie depuis la maternelle et malgré nos différences, on s'entend plutôt bien. Imaginez ma surprise quand elle m'a proposé de coucher avec elle pour son plaisir et le mien. J'ai évidemment refuser même si l'offre était tentante puisque Ebony est beaucoup plus que mignonne, elle reste tout de même ma meilleure amie.

« Elias ? Tu te prépares encore ? Mais merde, Barktwames, c'est qu'un bal, c'est pas une représentation de mister. » Ce jour-là, je me préparais comme tout le monde. Costard, cravate. Je n'avais pas de cavalière enfaite, mais j'avais quand même décider de venir au cas où je trouverais mon bonheur sur place. Bien entendu, je ne remarquais que Isabel, une fille plutôt sexy dans tout les sens du terme, en plus de me faire de l'effet, il s'avérait qu'on se ressemble plutôt beaucoup mentalement. P'être que y'a une chance d'être heureux dans ce monde de fou.

bon dieu, ashley !
un super lien qui craque le string de mamie, promis.

han *_* bon dieu. merci
ah, ton dooble compte je l'ai _ luke grimes, j'hésitais avec lui et mathias mais j'ai pas eu à choisir du coup.
je cours continuer ma fiche (a)

well, well, well.
i have finish (i have a dream. *ou pas*)