Heartquake
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 THE SID ♣ let's get these teen hearts beating faster

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Sidney White-Lancaster
Sidney White-Lancaster

    FOR SID'S SAKE •
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THE SID ♣ let's get these teen hearts beating faster Vide
MessageSujet: THE SID ♣ let's get these teen hearts beating faster   THE SID ♣ let's get these teen hearts beating faster EmptyDim 23 Mai - 17:36

welcome to jamaica


THE SID ♣ let's get these teen hearts beating faster 2uge4hd
© Misery Angel

NOM(S): white-lancaster, de l'anglais pur souche les copains. PRÉNOM(S):sidney, mais tout le monde m'appelle sid. DATE DE NAISSANCE: 31 octobre 1988. ÂGE: 21 ans. NATIONALITÉ: anglaise. ÉTAT CIVIL: tout récemment en couple.

    « Midnight Whirlwind, alors? J'te bute si tu me dis non Andy, c'est au moins le millième que je propose ». Je vois mon cousin qui éclate de rire, mais dit rien. Il réfléchi trop, c'connard. Je le sais, il fait parti de ma vie depuis qu'on est né, à trois jours d'intervalle. Je prends un shooter de téquila que me tend Arty, assise sur mes genoux, alors que de mon autre main, je passe sous le tissu de son t-shirt pour remonter lentement sur son ventre plat. On a quinze ans « Fais chier que vous allez faire ça devant moi ». À mon tour de sourire, et je pose mes lèvres dans le cou d'Artemis. On est nous trois depuis cinq ans déjà, à faire des conneries, fumer des mégots de cigarette, quémander de la bière à des gens qui peuvent nous en sortir dans les dépanneurs. La grande vie « Je le sais que t'en rêve Andy. J'suis presque ton frère, dis toi que c'est presque comme si tu te la tapais ». Elle me balance un coup de coude dans les reins « De l'humour Arty, putain, de l'humour ». Elle se redresse, non sans se retourner pour me lever le majeur et envoyer une claque derrière la tête d'Anderson. Je le regarde, amusé, charmé par le caractère bouillon d'Arty, encore et encore « Midnight Whirlwind. Ça a de la gueule. La tienne, sauf pour dire des conneries, Andy, elle te sert à quelque chose? ». J'éclate de rire. Il fait mine de bouder. Comme moi je l'aurais fait. Anderson et Sidney. Andy & Sid. L'histoire d'une jeunesse débraillée et complètement hallucinante « Pas faux, et si tu l'ouvrais grand et que je baissais mes jeans, Artemis? ». Je m'étouffe dans ma bouffée de joint. On est dans le garage chez Arty, son père est pas compris qu'on vit plus dans les sixties, alors pour lui, c'tout naturel le shit. J'en profite. Chez moi, c'est péché. Comme le cul. Comme la musique rock. Tout ce que j'aime, somme toute « Jt'explose dans trois secondes le truc tout riquiqui qu'tu caches sous tes jeans de fille, Anderson ». Je ne me lasserai jamais d'elle, c'est certain. Alors qu'elle avançait, on toque timidement à la porte du garage. Intrigué, je me redresse, passant la main dans mes cheveux « Qui t'a invité? ». Elle fronce les sourcils, le regardant lui, puis moi, croise les bras sur sa poitrine. J'remarque du coin de l'oeil que son haut est remonté, dévoilant son ventre plat à la vue de tous. J'croise le regard pétillant d'Andy, tiens, il l'a pas zappé non plus « Je suis chez moi, j'vous rappelle. C'est de famille la connerie, chez vous, bordel. Sid, tu cherchais une bassiste, non? J'en ai trouvé une. Tu vas aimer ». Je suis plus ou moins convaincu, jusqu'à ce que la porte s'ouvre sur elle. Tabitha Cartwright, qu'elle se présente. Mon coeur fait un bond, je relève le sourcil, ravalant péniblement ma salive. J'ai quinze ans, et j'ai le sentiment que je suis amoureux d'une fille pour la première fois de ma putain de vie. Les cheveux courts, frôlant légèrement ses épaules, un rouge pétant, un teint ivoire, canon avec ses mini-short, des bottes de cowboy, un t-shirt des Misfits déchiré si grossièrement que je devine aisément ses dessous. Rouge avec dentelle. Putain je suis amoureux. Pour de vrai. Pour de bon, c'est clair...

    « T'a hérité de moi pour un profil pareil, putain ». Je prends une gorgée de bière, puis secoue la tête. Première photographie dans un magazine. Ça marche plutôt bien pour moi, ou devrais-je dire pour nous. On a dans les dix-neuf ans, en moyenne, et notre groupe a le vent dans les voiles. On a une tournée de planifiée partout au Royaume-Uni, et puis y'a une photographe qui a fondu pour ma gueule. Je fais la couverture d'un magazine. Le nom? J'le sais même pas. C'est peut-être simplement parce que ça vend la musique, avoir une belle gueule et du succès. J'ai les filles que je veux en claquant des doigts, de l'argent, j'en fais plus que je ne saurais en dépenser. J'suis pas millionnaires, mais je joue dans le camp des Sid Vicious et des Pete Doherty de ce monde, l'autodestruction. Je m'achète ma came, mon alcool, je fais la fête comme un malade avec Andy, Arty et Tabbie. Tabitha. La seule chose qui manque pour un bonheur complet. Ça fait quatre ans qu'on se connait, quatre ans qu'on joue de la musique ensemble, et tout ce que j'ai pu obtenir, c'est de dormir contre elle, sous les étoiles, parce qu'elle était trop déchirée « C'est pour ça que c'est moi qu'ils ont choisi, c'est évident ». Il me balance une lampe par la tête, je l'évite de justesse, elle s'écrase contre le mur, se brise en mille morceaux. On s'en fiche. On est dans une chambre d'hôtel. On a une représentation dans une vingtaine de minutes. J'ai envie d'un rail, même si j'sais que j'devrais pas. Anderson est le seul qui touche pas à cette merde. Lui, il jure qu'il mourra un joint pincé entre les lèvres, mais aucun produit chimique ne lui coulera dans les veines. Grand bien lui fasse, moi, la poudre, ça m'éclate « T'en a trouvé, merde Sid, t'es un amoûûûr ». Je lève la tête pour voir Tabitha débouler dans la chambre, elle porte une mini-robe qui dévoile le galbe de ses fesses, à peine recouvertes par un collant en grésille. J'en frissonne, puis elle pose ses lèvres à la commisure des miennes, s'approchant des lignes sur le vinyle des Sex Pistols « Parce que j'ai déjà déçu tes attentes, junkie? ». Elle s'envoie la première, lève les yeux au ciel, puis sourit. Andy me regarde, l'air furieux et navré. Comment ne peut-elle pas être au courant que je suis à fond sur elle, j'veux dire, ça pète les yeux, non ? Elle allait répliquer qu'Artemis entre dans la pièce, la voit, penchée sur la came « Tu rigoles que tu lui en as encore filer? Tu vois pas que, défoncé ou pas, t'aura pas ce que tu veux, pour une fois, Sidney? ». Même Andy a la décence de ne pas rire, parce que c'est la première fois qu'on me fout une claque pareille dans la gueule. Je l'ai toujours eu facile, je l'admets. Avec les filles, avec mes parents, à l'école, partout. Sauf concernant Tabbie. C'est comme si je faisais parti du paysage, et ça me fait royalement chier. Elle le sait, Arty. Mieux que tout le monde. Elle l'a su au moment même où elle m'a présenté Tabbie que je la voudrais. Non, c'pas seulement ça. Je l'aime. Pour de vrai. Pour de bon. Je crois que quatre ans plus tard, on peut dire ça. Je me lève, sans un mot, alors que Tabbie est loin dans les vapes. Je prends possession du Jack Daniel's et j'pose mon cul sur le rebord de la terrasse, les jambes dans le vide. J'en vide une bonne portion d'un trait « Elle voulait pas dire ça comme ça, tu la connais Sid. Fais pas le con ». Je dis rien, je fixe l'horizon. Je regarde en bas, des gens commencent à se masser près de la salle de concert. J'ai même pas envie de jouer. J'ai juste envie de crever, là, maintenant « L'amour, c'est de la merde. Carrément. La terre s'ouvre sous mes pieds, et puis même en baisant n'importe qui, ça me fait rien oublier. Marre Andy, tellement, mais tellement marre ». Il prend la bouteille d'entre mes doigts, en boit une rasade. Je le regarde, amusé « Pas de commentaire enfoiré ». Je ris doucement, essuyant mon visage du revers de ma manche « T'es foutrement différent quand il est question d'elle, ça me fout une putain de trouille vieux ». Je sais mec, j'le sais. Je me fais peur aussi quand j'suis en présence de Tabitha. Je me mets à chantonner, sur l'air d'une mélodie qu'on a, sans paroles encore « Good life, i used to live the good life with girls, friends and money. This was before i felt for a girl, just as i've met a fucking heartquake... ». Heartquake. C'est resté. On en a ri, mais c'est devenu la chanson-thème de notre démo. Heartquake de Midnight Whirlwind...

    « J'attends que le moment de te revoir shirtless Avy ». Avery Phipps-Graham. Ça ne lui a pas pris longtemps à s'intégrer à la communauté pourtant fermé de notre petit nuage de Midnight Whirlwind, Andy a tout de suite appuyé sa candidature pour être l'égerie de notre démo, sur lequel elle rend comme foutrement bien. Son bras cache sa poitrine, des jeans descendent si bas que la chute de ses reins paraît infini et puis son regard de braise, rivé sur l'objectif, elle est indifférente au chaos qui l'entoure. Une tornade. Le monde est en flammes. Mais elle pose, au beau milieu de la nuit, ses cheveux légèrement relevés par le vent. Elle parait venir d'un autre monde, elle est... y'a pas de mot. Divine, peut-être, mais encore là, le mot est faible. Elle connaissait déjà Artemis, et puis cette dernière a jugé qu'elle pouvait supporter les casse-pieds White. Je ne crois pas que Tabitha l'insupporte ou l'indispose, à vrai dire, je ne les ai jamais réellement vu discuter. De toute façon, c'pas comme si ça me concernait. Avery m'envoie un coup sur les épaules, et secoue la tête « On ne court qu'une fille à la fois, ta mère t'a pas appris ça? ». Je m'étouffe avec la rasade de vodka pure que je me descends, avachi dans un canapé de notre loge « Qu'est-ce que tu sous-entends là... ». Elle se met à rigoler, j'me sens carrément pitoyable, du coup. J'suis furieux, j'ai horreur qu'on se moque de moi, et alors que je me redressais, en pétard, elle gesticule, comme pour freiner mes ardeurs. Moi qui part en guerre pour un oui ou pour un non « Avec Tabitha, alors là, ça craint, si tu penses que tu fais dans la discrétion Sid ». Je me mords la lèvre inférieure, passant la main dans mes cheveux « C'est qu'une fille parmi tant d'autres, point barre ». Elle soupire, puis se redresse, pose ses jolies fesses sur le bras du canapé, les yeux rivés dans les miens « Alors si j'te propose un coup de main, ça sert à rien, du coup, vu que tu t'en fiches... ». Je la maudis de savoir lire comme ça dans mes lèvres. Je lui tends la bouteille de vodka, le temps de peser le pour et le contre. Elle en avale une putain de rasade, ce qui me rassure, bizarrement « Cause toujours ». Elle se propose pour la rendre jalouse, une fille qui ne froisse pas que des draps et disparaît, c'est différent, Avery fait partie de l'entourage depuis plusieurs mois. Si elle est piquée au vif, Tabbie, y'a des chances pour qu'il se passe un truc. Sinon, eh bah, ce sera pas faute d'avoir jouer le tout pour le tout. Je l'écoute, m'allumant une clope durant le monologue, puis la pince entre mes lèvres pour applaudir « Y'a qu'une fille pour penser à un truc aussi tordu. Pourquoi pas? Après tout, t'es pas si moche! ». Je me mets à rire puis l'attire sur le divan, alors qu'elle m'envoie me faire foutre entre deux éclats de rire, parce que mes doigts parcourent le creux de ses hanches, son rire emplissant notre appartement, à Andy et moi, de gaiété. Ça faisait longtemps je m'étais pas senti aussi bien...

    « Elle va passer, toujours partante? ». Je joue la carte du mec insouciant, mais j'ai jamais eu besoin d'un stratagème pareil pour obtenir une fille. Normalement, ça va de soi, quelques paroles, une invitation franche et directe, et puis je froisse des draps à profusion ou bien j'abuse d'endroits insolites, parce que c'est encore mieux. Là, je me sens nerveux, comme un gamin qui le fait pour la première fois. Mais j'dis rien, pas moyen que j'confie à Avery que ce truc me déchire un peu la conscience, parce que si, j'en ai une. Vrai, on est des potes, et c'est justement ça qui me gêne. Je ne me verrais plus m'envoyer en l'air avec Artemis. Jamais de la vie « Parce que tu prévois qu'elle va, ultimement, se rendre compte à quel point elle est amoureuse de toi ». Je prends une bouffée de clope, puis je l'exhale, mon regard s'assombrit « C'était pas drôle ça ». Est-ce que c'est moi ou Avery a carrément l'air mal à l'aise. Rien que pour m'en assurer et me sentir mieux, même à son détriment, j'approche. J'avais raison, alors je reprends mes aises, lui adresse un sourire en passant la main dans mes cheveux « Parce que c'est moi qui a la poudre, aussi simple que ça. Oh, et puis elle a oublié sa basse à la répet de ce matin ». Elle tend la main, j'lui cède ma cigarette, remarquant que c'est la dernière qu'il me reste. Fuck la nicotine, le sexe, c'est mille fois mieux. Je la regarde pomper sur la clope comme une hystérique, alors je rigole légèrement « M'dit pas que tu te souviens de la pudeur tout d'un coup ». J'hausse les épaules, m'étirant longuement, ce qui relève le pan de mon chandail « Si t'a plus envie, j'comprends. C'est quand même un plan d'con quand on y pense bien ». Elle sourit, puis s'approche de moi « Vu qu'il vient de toi, normal ». Touché Avery.

    On se cherche comme ça, jusqu'à ce que je finisse par la faire taire d'un baiser, me baissant à sa hauteur, alors qu'elle vient de s'installer sur le canapé. Sa main remonte jusqu'à ma nuque et m'attire contre elle. Je ne me fais pas prier que je presse mon corps contre le sien, ressentant un besoin urgent de sentir sa peau, parcourir son épiderme de mes doigts. Je l'attire contre moi, la renversant sur mon corps, passant mes mains sur ses hanches, remontant successivement son haut, embrassant une ligne imaginaire de son nombril jusqu'au creux de son cou, sous sa mâchoire, son menton, puis l'aveuglant en ne retirant pas l'étoffe, je prends possession de ses lèvres. J'suis comme électrisé. Un frisson la traverse, me donnant une putain de bouffée de désir. Puis on s'enflamme, impatients, bouillants. Elle retire son haut complètement, m'arrache pratiquement le mien, non sans voler des baisers dans le processus, puis je colle mon torse contre son soutien-gorge noir. J'entoure de mes bras sa fine silhouette, l'embrassant passionnément à ne plus en avoir une goutte d'oxygène, glissant ma main dans ses cheveux, mon autre jusqu'à taquiner son bas-ventre, descendant ses leggings, lentement, rien que pour l'agacer. Elle est impatiente, moi aussi, mais je veux prendre mon temps. La faire patienter, qu'elle bouillonne de désir et d'envie. Ça marche, elle me mord la lèvre si fort que le sang y perle. Je souris, non sans lécher la goutte de sang couleur rubis et au goût ferreux, qui se mélange quand sa langue pénètre mes lèvres et qu'on semble ne plus faire qu'un, quelques secondes après que le dernier morceau de tissu vole dans la pièce. Et puis à un moment donné, ça y est. Un soupir d'aise, de contentement, de satiété. Je profite de cette proximité pour redresser sa jambe contre mes cotes, m'approchant d'autant plus de son visage, jusqu'à glisser mes lèvres dans son cou, pour mordre le lobe de son oreille. Elle gémit, ça décuple le putain de plaisir que je ressens. Nos corps s'accordent trop bien, s'emboîtent parfaitement. Chacun de mes coups de reins est accompagné d'une ondulation des hanches d'Avery. Qu'un silence brouillé par un gémissement. Jusqu'à ce premier orgasme. Jusqu'à ce que je sente son corps se tordre, se tendre, puis ses yeux se clorent avec douceur, alors qu'elle s'étire comme un chaton par la suite. Je l'embrasse partout, et puis on repart. Toujours affamés, toujours obnubilés l'un par l'autre...

    « Sidney, t'es là? Il te reste d'la... OH PUTAIN, FUCK! ». Je me redresse, Avery est sur moi, se colle contre mon torse. J'avais complètement oublié Tabitha. Quand je dis que je n'y pensais plus le moins du monde, je ne réagis pas en la voyant attraper mon sac de came et sa basse, en courant presque. Mon regard glisse d'Avy à elle, et puis j'ai le visage flanqué d'une expression que je ne saurais décrire. Un mélange d'incompréhension et de déception. Je vivais pleinement chaque bruit qu'émettait Avery dans mon oreille, chaque fois que je prenais possession de son corps, que mes mains brûlaient chaque parcelle de sa peau, son épiderme tout entier, je l'ai parcouru du bout des doigts. Je mets quelques secondes à me décider, puis après avoir adressé un sourire navré, je me relève, comme je peux, sans brusquer la brunette. J'attrape un pantalon à portée de main - j'ignore même si c'est celui d'Avy - et puis je me mets à courir, m'arrêtant, à contre-coeur, au pas de la porte. Je me retourne, un dernier regard pour Avery, et puis dans une ultime tentative de détendre l'atmosphère, ça sent le sexe, la sueur et la clope, elle est torride, sur le divan, muette elle aussi. Est-ce que chaque pas que je fais pour m'éloigner de la brunette sont douloureux? J'ai l'impression de marcher dans la vase, mais c'est ça que je voulais, non? Je rive mon regard dans le sien, sourit légèrement « J'espère que j'suis mieux qu'Anderson ». Je ne crois pas que la vanne la fera marrer, mais c'est tout ce qui me vient en tête « Et puis merci Avery. Vraiment ». Puis je disparais de l'entrebâillement de la porte, à regrets...

    Je finis par rattraper Tabbie, elle s'est arrêtée contre la porte de son appartement, tout près du hall. Elle fume une clope qu'elle tient nerveusement « Désolé, je... j'savais pas ». Elle détourne la tête, me dévisage de la tête aux pieds, puis émet un rire sans joie. Elle inhale le poison, puis l'exhale dans les airs, lui imposant des cercles concentriques. Je garde les yeux rivés sur elle « Tu t'en doutais, tu savais, au fond. Tu me connais bien, et c'était brillant ». Je baisse la tête, mord ma lèvre inférieure, me sent aussitôt mal. C'était un plan de malade, même pour moi. Puis tout ce que ça comporte, la baise avec Avery, ce tourbillon d'émotions, l'envie que ça ne s'arrête plus, l'intensité du pied que j'me suis pris, à quel point j'la trouvais belle et désirable. Je confrontais une horde de remords jusqu'à ce que je sente mes lèvres prises d'assaut. Relevant les yeux, je remarque que ce sont les mains de Tabbie des deux côtés de mon visage, ses lèvres groseille pressées contre les miennes « Ça a marché » qu'elle me souffle, entre deux baisers, alors que je cherche à reprendre possession de ses lèvres « Quoi ? ». Elle sourit, puis ses mains minuscules parcourent mon torse, dessine chaque ligne, m'arrache un frisson « Avery et toi. Qui s'envoient en l'air ». Un éclair de culpabilité s'installe... pour repartir, une seconde plus tard, alors qu'un sourire malicieux apparaît sur mes lèvres « Rassure-moi que t'es jalouse » « On ne peut plus ». Je n'en crois pas mes oreilles, j'suis pris de court, sérieusement. Je pensais jamais que ça marcherait. Je penserais jamais perdre quelque chose en chemin, une partie de moi. Je presse mon corps contre celui de Tabitha, comme si ça effacerait le malaise que je ressens vis-à-vis d'Avery « Pourquoi maintenant, Tabbie? » Je m'accroche à ses lèvres, pose ma main dans son dos, lève doucement la tête pour croiser son regard..


THE SID ♣ let's get these teen hearts beating faster Qntz49
© Tsouri

PSEUDO/PRÉNOM: emmecie. ÂGE: je soufflerai mes 20 bougies cette année. FILLE/GARS: je suis la femme de taylor kitsch. PAYS: canne à da. COMMENT AS-TU CONNU HEARTQUAKE ? mon petit doigt m'en a parlé. COMMENT LE TROUVES-TU ? une créature divine. AVATAR: luke grimes. SCÉNARII OU INVENTÉ ? inventé. FRÉQUENCE DE CONNEXION: 7/7. MOT DE LA FIN: je m'aime tu m'aimes il m'aime nous m'aimons vous m'aimez ils m'aiment.
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Sidney White-Lancaster
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MessageSujet: Re: THE SID ♣ let's get these teen hearts beating faster   THE SID ♣ let's get these teen hearts beating faster EmptyVen 28 Mai - 1:00

je me proclame officiellement membre THE SID ♣ let's get these teen hearts beating faster Herz
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MessageSujet: Re: THE SID ♣ let's get these teen hearts beating faster   THE SID ♣ let's get these teen hearts beating faster EmptySam 29 Mai - 4:14

Haha, j'aime ton dernier mot, même si on sait tous que c'est faux =D
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MessageSujet: Re: THE SID ♣ let's get these teen hearts beating faster   THE SID ♣ let's get these teen hearts beating faster Empty

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