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NOM(S): Carlson. PRÉNOM(S): Nina, Ashlynn. DATE DE NAISSANCE: 26/09/1989. ÂGE: 20ans. NATIONALITÉ: Américano-Argentine. ÉTAT CIVIL (célibataire, fiancé, marié, divorcé): Mariée GROUPE : Heart Eaters.

Comment vous narrez mon histoire, une histoire futile banale qui n’est autre que la mienne ?! Eh bien, je pense non je vais commencer par le commencement, en toute logique.

Tout débuta dans une ville bien dynamique avec une certaine Andreià Sanchez, qui pour ceux qui l’ignoreraient été un mannequin argentine très prisée. Andreia fit la connaissance de la mère de Gabriel Carlson très rapidement, car toutes deux étaient mannequins. Les deux jeunes femmes se lièrent tout aussi vite d’amitié, tant elles se ressemblaient. C’est d’ailleurs grâce –ou à cause- d’elle que ma mère rencontra son futur mari. Toutes les deux ont alors épousé deux riches américains, le but de ma mère étant je peux l’avouer d’être dans un niveau de vie suffisant qu’ainsi elle n’était pas obligée de travailler. Mais malheureusement les deux amies durent se séparer. En effet, madame Carlson partit vivre à New York et ma mère emménagea à Los Angeles. Là bas, ils eurent l’incroyable chance de concevoir un enfant, enfant qui n’était autre que moi. Ils m’appelèrent Nina, prénom que rapidement je n’aimais pas… Pourquoi je ne sais pas… C’est pourquoi la majeure partie du temps, on m’appelle Ashlynn, prénom que j’affectionne d’avantage. Ma mère était ravie, même si l’idée ne venait au départ pas d’elle. Mais après tout rare était les femmes qui ne désirait pas d’enfant ! Tout c’est toujours passé très bien, j’avais ce que je désirais, tout ce que je désirais peut importe le prix… Tous m’était du et donner… Le rêve pour ainsi dire ! Seulement tout bascula… Un triste soir de décembre, le soleil descendait laissant doucement place à la froideur de la nuit. Et ce fameux soir, mon père rentra dans ma chambre, j’avais une dizaine d’années, douze pour être exacte. Le fête que mon père se frottait nerveusement la tête et n’osait mots dire, commençait sérieusement à m’inquiéter. Au bout d’un quart de seconde qui me parut durer une éternité, ses lèvres desserrèrent :

« -Je suis désolée, Nina, mais je dois te laisser toi et ta mère…
- Quoi, je te demande pardon, dis-je ce soir là. Qu’est-ce que… Pourquoi ? Non, papa, je t’en prie reste me laisse pas… On trouvera une solution… Y a toujours une solution, papa je t’en prie… »

Mais ce soir là, il tourna les talons avant de me lancer un dernier, regard d’excuse et je n’avais que faire de ses foutues excuses, la seule chose que je voulais c’était un père ! Bordel. Non c’était à croire que cela été une denrée rare. Ce soir là, il disparut direction les îles, nous abandonnant ma mère et moi, dans le besoin et seules. Et cela pourquoi ? Dans le but d’échapper à la justice. Pathétique. Voilà ce qu’était à présent la seule figure parentale potable que j’avais connu. J’étais révoltée, et à présent, j’allais me montrer froide, fière et indépendante, oui ma mère en avait besoin et puis les sentiments de quelques natures qu’ils sont ne devraient pas exister… Parce que s’attacher à quelqu’un c’est l’autoriser à nous faire souffrir un jour. Ma mère perdue sans le moindre repère, décida de se tourner vers son amie. Nous partîmes donc direction New York. Mais contrairement à ce que c’était attendue ma mère en la suppliant de nous aider, elle nous jeta sans ménagement. Alors que j’entrais au lycée, ma mère multipliait les petits boulots tentant en vain de gagner de quoi nous donner un toit et un repas. Chaque matin, je voyais ma mère pleurer, se lamenter, ne jamais vraiment arriver à oublier cette histoire. Elle en voulait à la terre entière, plus particulièrement, elle était déçue et en voulait à la mère de Gaby. Gabriel, tiens, je suis étonnée de n’avoir pas encore parlée de lui… Il a tellement compté dans ma vie. Peut être trop, beaucoup trop. Quelque part, j’en venais à en vouloir à sa mère, de ne pas nous aider ne serait-ce que financièrement… Mais à l’époque, j’ignorais que Gaby était son fils même si je savais qu’elle en avait un… Puis ma mère a commencé à boire, boire comme un trou. Tomber dans la déchéance je suppose que c’était logique. Je pense que je me souviendrais toute ma vie du jour où j’ai rencontré Gabriel. Notre premier regard, je ne pouvais jamais m’empêcher de lui sourire… C’était l’homme parfait, rien à voir avec tous ces idiots qui n’étaient amis avec moi que par intérêt… Non, lui il était… Spécial. Il m’a tout de suite charmé, séduite… Avec lui tout était toujours si magique. A cette époque, je prétendais être aussi riche que mes camarades, portant toujours les derniers vêtements griffés à la mode, pourtant j’étais bien loin de tout cela… Vous comprendrez donc que je suis rapidement populaire et lorsque j’ai appris qui était réellement gaby. Je n’ai pas eu d’autre choix que de suivre le plan que ma mère m’avait inconsciemment –ou peut être consciemment- dicté. A savoir que théoriquement, je suis sortie avec Gabi au départ pour découvrir qu’il était, découvrir un moyen d’atteindre sa famille, pour leur faire payer ce qu’ils avaient fait à ma mère ou plutôt pas fait... Seulement même si je ne l’ai jamais avoué à ma mère, je l’aime. Oui, j’en suis raide dingue et cela encore aujourd’hui. Le savoir loin de moi, brise mon cœur de pierre. J’aimerais avoir un trou à la place du cœur tout serait tellement plus simple. Nous avons vécu des moments inoubliables, Gabriel et moi, sûrement les plus beaux moments de ma misérable existence… Pour tous, notre relation ne durerait pas. Pourtant, les mois passaient et nous étions toujours ensemble et heureux. Nous apprenions à nous connaître, comme une idiote je lui montrais ce visage que personne ne connaissait. Il aimait me taquiner, rire avec moi. Il a su me voir autrement que cette garce sans cœur que certains décrivaient. Non, pour moi lui, j’étais délicieuse, brillante, pleine d’esprit. Mon tempérament de feu devenait mon charme à ses yeux. Trois ans, nous sommes restés trois ans ensemble. Trois ans de souvenirs merveilleux et de disputes mémorables. Nous étions fous l’un de l’autre, il m’a même demandé en mariage à la fin du bal de promos. Il avait sorti tous le tralala, c’était tout bonnement magique. J’étais sa Nina. Oui, il était le seul à m’appeler ainsi et même si cela m’agaçait au plus haut point, il n’a jamais arrêté. Avec lui, je me sentais différente, moi même. Nous rions tellement, nous étions insouciants et heureux… A la mort de ma mère, j’étais dévastée, je me sentais seule et j’en voulais à la terre entière. C’est sûrement pour cela que je me suis décidée à reprendre le plan dressé par ma mère, verrouillant mon cœur à double tour. Je ne lui ai jamais dit pour le suicide de ma mère, Gabi ne sait rien aussi bien au sujet de ma mère que du départ de mon père… Je lui assurais qu’ils étaient tous le temps en voyage. Il n’a d’ailleurs jamais soupçonné que je n’étais pas aussi riche que tout le monde se plaisait à croire.
Je me suis rapidement aperçue qu’ils n’en avaient pas grand-chose à faire de leur fils, la mère n’ayant jamais pris le temps de la rencontrer. Jai donc été obligé de ruiner leurs mariages afin de la laisser sans un sous, sans plus rien à quoi s’accrocher comme l’avait été ma mère quelques années plus tôt. Pour cela j’ai du trompé Gabi avec son père et croyez moi, cela ne fût pas selon le dictat de mon cœur mais par fidélité envers ma mère... Tout s’est passé comme elle l’espérait. Le pére de Gabriel a divorcé et s’est débrouillé pour laisser sa femme sur la paille avant de m’épouser, visiblement fou d’amour pour moi. Seulement, s’il y a une chose que je n’avais pas prévu c’était de tomber enceinte. Je ne voulais pas d’un enfant de cet homme que j’étais bien loin d’aimer… De plus, ma rupture avec gaby me hantait, m’arrachant de tristes larmes que je cachais à mon mari. Jamais je n’oublierais Gabriel Carlton. J’en suis à présent sûre. Il et restera le seul homme que je n’ai jamais aimé… Et que j’ai misérablement trahi. Ai-je des remords ? Juste envers Gaby, j’aurais aimé que notre histoire ne se finisse pas ainsi… Deux mois après la naissance du bébé, celui-ci est mort. Me dévastant d’avantage même si je n’en laissais rien paraître… J’étais dévastée, détruite, morte à l’intérieur. J’avais perdu tous ce que j’aimais, ma mère, Gabriel et maintenant Lilween, ma fille. Je ne me plairais jamais dans mon mariage, dans ma vie, je n’ai en vérité jamais choisi ce qui m’est arrivé alors pourquoi devrais-je être... Heureuse ? C’est pourquoi, je cherche du réconfort dans les bras d’autres hommes, mais j’ai eu beau tout essayé. Ces douces étreintes n’effaceront jamais la triste vérité. Mais il y a peu, mon époux m’a demandé d’aller en Jamaïque chercher Gaby et de la ramener à NY… J’ai longuement hésité, je ne suis pas dupe, il a du m’oublier ou bien désespérément me détester… Mais il m’a trop manqué pour que je refuse une telle occasion. C’est pourquoi, je le retrouverais même si je ne lui expliquerais jamais les raisons de toutes ces manigances... Du moins, pour l’instant. Et puis, je sais que ce masque de garce froide et sans vergogne qui me colle à la peau m’aidera à mener à bien ma mission sans lui dévoiler un iota de ce que je ressens à son égard. Au pire, si je ne réussi pas à faire ce pourquoi je suis ici, ce sera l’occasion de continuer mes études et de découvrir quelque chose de nouveau, de m’échapper de l’enfer qu’était devenu ma vie conjugale. Pour cela, j’ai 6 mois devant moi, et je pense que cela devrait suffire.

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PSEUDO/PRÉNOM: Miles, Autumn. Beatnik Angel. ÂGE: 18ans. FILLE/GARS: Fille. PAYS: France. COMMENT AS-TU CONNU HEARTQUAKE ? BAZZART. COMMENT LE TROUVES-TU ? PERFECTO ♥. AVATAR: Sara Paxton. SCÉNARII OU INVENTÉ ? Scénarri ♥♥. FRÉQUENCE DE CONNEXION: 3/7j ou tout le temps pendant les vacances . MOT DE LA FIN: JE vouus aime, aimez moi (a).